lundi, septembre 29, 2008

Et l'hiver ? Déjà !!!

Au croisement Rosemont / Viau, vu de soir, une publicité... pour un déneigeur !

Coudon, c'est-tu pas un peu tôt ?

;-)

les couleurs sont là !


Cette fois ça y est, les couleurs d'automne apparaissent bel et bien à Montréal.
D'une rue à l'autre, c'est splendeur dans les branches et tapis d'or au sol, selon que les plantations sont d'érables, de féviers ou de bouleaux.

Et de mon bureau, la vue sur la montagne commence à être une sérieuse distraction ;-)

mercredi, septembre 24, 2008

Retour de vacances, les couleurs commencent....


Retour de quelques jours de vacances sur une ile du base du fleuve, l'ile aux lièvres.
Des photos, sur le site de Julie.

:-))

mardi, septembre 16, 2008

entéka, c'est frais !

avec un 7° ce matin. Et là où on sera vendredi, on nous annonce 2° au petit matin ;-)
(sur une île au milieu du fleuve, en face de Rivière du Loup)

lundi, septembre 15, 2008

One more time, est-ce la dernière ?

...journée d'été ?

En tout cas, hier on a fait fort, avec un pointage maxi vers 17 h à 27°, 37° à l'humidex, je peux vous dire que ça faisait chaud et humide, et pas à peu près.

Aujourd'hui on doit plafonner à 17, et ça chute en dessous de 10 la nuit prochaine.

De quoi penser à l'automne !...
Tout ça à l'occasion du passage des restes de l'ouragan "Ike"...

mercredi, septembre 10, 2008

Lancement de saison Productions Cormoran 2008/2009


Mardi 9 septembre, 20 h, c'était hier le lancement de notre saison de contes 2008/2009 avec, au Rendez-vous du thé, une invitée de marque, en la personne de Mme Kim Yaroshevskaya(*) !

Une salle comble, quelques soucis de sonorisation, mais un bien beau spectacle au final, et un public ravi !

Que demander de mieux ? Eh... Que cela se passe aussi bien pour la 100ème des Productions Cormoran, le samedi 27 septembre au café Lézard, avec cette fois l'inénarrable Simon Gauthier aux manettes !

:-)

(*) accompagnée de l'excellent - et fort sympathique - Denis Poliquin, qui nous a régalé de ses accompagnements de guitare, kalimba, allant jusqu'à transformer le son de sa guitare en celui d'un balafon (?) par le truchement... d'une pochette d'allumettes !

Bien content d'être vivant !


Ce matin, sous la pluie, je pars prendre le bus. Je remonte l’allée des Sorbiers, absorbé dans mes pensées quand tout à coup un « BANG/CRAC » d’enfer. Une branche d’arbre, de belle taille, qui venait de se casser et de tomber, un mètre devant moi. Pourrie à la base, ce qui l’a fait casser, mais encore bien dure pour le reste, en témoignait le bruit produit et le fait qu’elle ne s’était pas brisée en heurtant le sol. Fooo…


J’ai repris ma marche, et c’est rendu à Viau, cinquante mètres plus loin, que j’ai compris. Quand j’ai senti un grand frisson glacé dans mon dos et entendu – crû entendre – un murmure à mon oreille me disant : « c’était pas loin. T’aurais pu être blessé. Voire y rester, vu le poids de la branche » Et puis le murmure s’est éloigné, comme s’il traversait Viau et entrait dans le parc Maisonneuve. Sous le premier bosquet, au loin, on distinguait une silhouette. Probablement un itinérant endormi. Je lui ai souhaité bonne chance en montant dans le bus. Voilà pourquoi je suis content d’être vivant.

vendredi, septembre 05, 2008

Fan minute...

Une étrange rencontre ce midi. Monté sur la montagne pour y pratiquer un peu la guitare, j'ai vu soudain apparaitre sur la table d'harmonie de la guitare la tête d'une nouvelle fan ! Qui a rampé, grimpé, puis s'est arrêté et m'a regardé droit dans les yeux.



Quelle surprise... Et elle avait l'air d'être fascinée par ce que je jouais. Une fan-minute, en quelque sorte.

Au moment de redescendre au bureau, je n'ai pas pu me résoudre à l'embrasser (quand même...) mais j'ai doucement soufflé vers elle pour qu'elle comprenne qu'il fallait qu'on se quitte.

Sa réaction m'a surpris, mais en y réfléchissant bien, elle est facile à comprendre. Que feriez vous si votre idole approchait son visage du vôtre et soufflait dans votre direction ? Ce serait peut-être la pâmoison, non ?

C'est ce qui lui est arrivé. Elle est tombée par terre.

Et moi je suis parti sans un regard en arrière...