Fin de semaine dans le bois en Haute-Mauricie. Deux heures de route, plus une heure de piste en terre, on traverse la rivière aux rats avec le matériel (quatre-roue, remorque, bouffe, nos bagages et nous même), 10 minutes de quatre-roues (30 de marche) et nous voilà arrivés, dans le bois.
Par chance, les bibittes (maringouins, mouches noires, mouches à chevreuil, brûlots, etc) sont en nette diminution, on ne finira pas dévoré.
Pas croisé d'ours pendant nos balades, juste... une crotte d'ours, à 200 mètres du camp. Fraiche... Pour ce qui est des orignaux, ils n'étaient pas bien loin, Julie et moi en avons entendu, à plusieurs endroits. (ci-dessous, une cache de chasse, avec ma pomme en train de (faire semblant) de "caller l'orignal"...
Un peu de travail pour moi, à aider André Pronovost (notre hôte) à récupérer et déplacer du matériel. Un peu physique, les déplacements en quatre-roues sur une trail (piste) toute neuve, pas encore complètement tapée et débroussaillée ! Mais c'était le fun.
Et puis ce n'est pas parce que l'on est dans le bois qu'on se nourrit de racines ! Samedi soir, Lise , la compagne d'André, nous avait concocté rien moins qu'une fondue chinoise ! On ne se refuse rien...
Retour dimanche soir à Montréal, avec la tête un peu rafraîchie par cette coupure d'avec la vie citadine.
Y a-t-il un rapport ? En tout cas, ce midi est sortie la 32ème façon de mourir : Hors-service - Désolé.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire